L'Espace du
Bien-Être

Détendez-vous... Détendez-vous...

Réduire le stress chronique

Il y a souvent beaucoup d’incompréhension autour du stress, surtout dans une situation.
Le plus souvent lorsque nous sommes acteur.

Lorsque nous sommes spectateurs d’un film, d’une série, qu’on nous montre tout le déroulé, le pourquoi du comment d’un situation, nous comprenons aisément les réactions d’un ou de plusieurs personnages.
Alors pourquoi nous perdons cette faculté d’analyse dans la vie ? Nous constatons tous des moments dans notre vie où nous omettons d’analyser les protagonistes d’une situation ou de supposer ce qu’ils auraient bien pu vivre.
Alors reprenons depuis le début.

Notre cerveau, fonctionnellement, est constitué
* D’une partie “reptilienne” qui gère tout ce qui est survie simple (pas d’émotion ni de réflexion, uniquement réflexes de survie comme respirer, le rythme cardiaque, manger, etc.)
* D’une partie mammifère (limbique) qui gère les émotions, les interactions sociales, l’art, etc.
* D’une partie intelligente (néocortex) qui gère tout ce qui est réflexion, compréhension, développement théorique, etc.

Nous sommes donc tous constitués d’émotions et de réflexion. Il reste toutefois compliqué d’être dans les 2 en même temps:

Plus on réfléchi, plus on se place derrière la caméra. Nous devenons très objectifs, pragmatiques. Nous projetons notre conscience vers l’extérieur.

Plus nous sommes émotionnellement touchés par un contexte, plus nous sommes happés vers l’intérieur du contexte et/ou de nous même, vers notre cœur. En dedans.

Alors si une personne vit dans un contexte où ses valeurs profondes sont blessées, bafouées, ignorées,… Cette personne sera constamment appelée vers ses émotions. Plus elle y sera, moins elle réfléchira. Ses réflexes prendrons le dessus. Des réflexes, parfois, de survie par fatigue ou par blessure.
L’égocentrisme, par exemple, peut être un des symptômes de ce fonctionnement.

L’expression de la goutte d’eau qui fait déborder le vase devient claire : si le vase n’est pas régulièrement vidé, il est probable qu’il déborde rapidement…

Les solutions ?
Nous en trouvons dans le temps. Mettre en place, investir, programmer. Prendre des décisions plus en adéquation avec nos besoins et nos valeurs. Faire régulièrement le tri dans nos émotions, dans notre vie. Surtout si le choix est difficile. Surtout si ça nous coûte. Car moins il est facile de se dépêtrer de quelque chose de négatif, plus ça touche, plus ça rempli le vase, plus c’est urgent de commencer maintenant.

Offrez vous votre liberté.

Bien à vous.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.