Comment maîtriser la colère ?

Attention à ne pas vous attaquer à la mauvaise cible !
Angry businessman
  • Voici trois erreurs à éviter  quand on est en colère:
    • #1: dévier de son objectif de satisfaction; 
    • #2: se révolter contre les problèmes de la vie (mieux vaut les régler plutôt que de s’en prendre aux choses);
    • #3: s’attaquer à la mauvaise cible (s’en prendre à un tiers à la place du vrai responsable). Le tiers à qui l’on s’en prend va ressentir un grand sentiment d’injustice. Cela va envenimer les relations …
  • Exprimer sa colère est bénéfique  dans le cadre de l’expression du ressenti. Imposer sa colère aux autres, génère du stress sur eux et sur soi-même. Utiliser la colère comme mode de communication génère de la contre-agressivité. Quand on a un caractère colérique on passe souvent pour quelqu’un de fort et on est parfois admiré alors qu’en réalité la colère est un signe de vulnérabilité et mène à l’autodestruction…
  • L’hypnose peut aider à la gestion de la colère par la prise de recul résultant de la sérénité et par des suggestions qui aident à  vider régulièrement notre « vase » intérieur pour éviter qu’une simple goutte la fasse déborder.
  • Atelier d’autohypnose pour maîtriser la colère: vendredi 20 mars 2020 de 19h à 21h ou samedi 21 mars de 9h à 11h. A l’Espace du Bien-Etre. Inscription (obligatoire) et renseignements: 07 89 84 21 12 ou info@moncoacheugene.fr

Le syndrome des 4 derniers kilomètres

A un peu plus d’une semaine de mon départ pour le chemin de Compostelle par la Via Podiensis (Puy-en-Velay – Cahors), je ne peux m’empêcher de revenir sur les leçons apprises au cours de mon précédent chemin qui, en 2013, m’a conduit de Saint-Pied-de-Port au Cap Fisterra en passant par Saint-Jacques de Compostelle. Ce n’est pas qu’une question de nostalgie même si ça lui ressemble. C’est simplement que, depuis mon retour, ma carte du monde a beaucoup changé et Compostelle n’y est pas pour rien. Bien au contraire

J’ai évoqué dans un précédent article de mon blog, quelques leçons apprises sur le chemin. Je reviens ici sur l’une d’elles que j’ai nommé le « syndrome des 4 derniers kilomètres ».  Quand on effectue une longue course, que ce soit en marchant ou en courant, les derniers kilomètres semblent toujours interminables. J’ai expérimenté cela pour la première fois au cours de la marche « Nancy-Metz » à laquelle j’avais participé en 2012 en préparation de mon Chemin de Compostelle de 2013. Je n’avais jamais marché 66 km d’une traite. Beaucoup de participants ont abandonné en chemin, sujets aux ampoules et autres crampes et autres douleurs. D’autres ont choisi de continuer, pas forcément  parce qu’ils souffraient moins que les premiers même il s’en trouvait peut-être dont le niveau d’endurance faisait qu’ils parvenaient à conserver leur douleur à des seuils supportables. Une grande majorité avançait avec ses bobos. En ce qui me concerne, j’ai la chance de ne pas souffrir d’ampoules aux pieds mais une racine mal intentionnée et mal positionnée sur laquelle j’avais buté m’a saccagé le gros orteil du pied gauche avec une douleur qui allait crescendo. Durant cette marche, les 4 derniers kilomètres m’ont paru interminables. A quoi est dû ce phénomène ?

Pour en savoir: cliquer ici.

Nous, les hommes.

Nous les hommes , nous avons été éduqués pour être forts, être les supports de nos familles. Nous n’avons pas le droit de “craquer”. Se faire aider ? Quelle drôle d’idée ! Nous pouvons tout régler nous-mêmes, mieux, nous DEVONS tout régler nous-mêmes. Un homme n’a pas le droit de pleurer. Il doit rester fort quelque soit l’épreuve qu’il traverse. Surtout ne pas montrer sa faiblesse aux autres.

La réalité est toute autre. Nous sommes sujets à des moments d’épuisement, des moments de remise en question. Nous nous demandons parfois si les choix que nous avons faits sont bons. Nous nous interrogeons sur notre avenir. Nous avons parfois du mal à concilier notre vie professionnelle avec la vie familiale. Nous nous rendons finalement compte que nous ne pouvons pas nous en sortir tout seuls. Nous nous réfugions dans des stratégies fallacieuses qui ne font que renforcer notre mal-être. Que faire ?

Certains pensent: “je peux m’en sortir tout seul avec des livres et des vidéos sur Youtube.” C’est ainsi qu’ils accumulent des livres de développement personnel écrits par des coachs médiatiques ou des philosophes qui font la une des journaux  sur leur table de chevet et ils se fatiguent à visionner  des vidéos qui donnent des conseils qui ne fonctionnent jamais.

Rien ne vaut un vrai accompagnement par un coach qui pratique des techniques diverses pour vous conduire vers votre mieux-être. Il existe plusieurs outils au service du coach: la PNL (Programmation neuro-linguistique), l’hypnose, la systémique, la sophrologie etc… L’élément le plus important c’est la confiance que vous accordez au coach que vous avez choisi. Un bon coach vous fournira des outils qui vous rendront autonomes et vous permettront de maintenir un état de bien-être de façon durable.

Les statistiques indiquent que le nombre de femmes qui se font accompagner est largement supérieur à celui des hommes. Laissons tomber toutes ces croyances qui nous limitent. Il est temps de nous rendre à l’évidence: nous sommes des femmes comme les autres.

A l’espace du bien-être vous trouverez le coach, l’accompagnant qu’il vous faut.

Je m’appelle Eugène Mpundu, je suis Coach de vie.